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L’augmentation mammaire est l’une des interventions chirurgicales les plus désirées par les femmes, et ce n’est pas un hasard, car elle assure les performances esthétiques les plus satisfaisantes, en mettant en valeur la féminité de chacune. Il s’agit d’une opération de longue durée ; les prothèses sont garanties à vie même si, dans certains cas, elles doivent être remplacées au fil des ans. Conçue à l’origine uniquement pour augmenter la poitrine, cette chirurgie est devenue la réponse également pour celles qui veulent corriger les défauts de forme, améliorer les proportions et la symétrie des seins en choisissant, parmi les différentes prothèses, celle qui est la plus appropriée, en obtenant un résultat harmonieux et naturel. Selon les statistiques les plus récentes, les personnes qui s’adressent au chirurgien plastique pour ce type d’opération ont entre 19 et 35 ans.
Voyons en détail ce que cela signifie d’avoir un nouveau sein, cette partie que chaque femme considère peut-être comme la plus importante d’elle-même.
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Prenons un peu de recul pour expliquer, étape par étape, ce que signifie se faire refaire les seins.
Avoir un nouveau sein, c’est consacrer une grande attention à la phase d’analyse et d’étude du type de sein à opérer et, bien sûr, du nouveau sein à obtenir. L’une des principales inconnues concerne le choix du type de prothèse à insérer, compte tenu du fait que les modèles de dernière génération, disponibles dans une infinité de formes et de tailles, sont pour la plupart en gel cohésif avec une surface texturée et permettent l’adhésion complète de la prothèse aux tissus, obtenant un effet totalement naturel ; il existe également des prothèses en gel de silicone recouvertes de polyuréthane, une substance totalement résorbable qui réduit le risque de contracture capsulaire.
Zones d’insertion de prothèses mammaires ?
Fondamentalement, une opération de mastoplastie additive implique, selon les différents cas, trois techniques d’insertion : Positionnement rétromusculaire
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L’endroit où la prothèse est placée :derrière le grand muscle pectoral et – parfois – derrière une partie du muscle denté.
- Quels sont les avantages :les bords de la prothèse ont une visibilité réduite, surtout par rapport à d’autres techniques, ce qui donne un sein d’apparence très naturelle. La réalisation de ce type d’insertion facilite la réalisation d’examens de contrôle tels que la mammographie et réduit également le risque de contracture capsulaire.
- Quels sont les inconvénients ? le cours post-opératoire peut nécessiter plus de temps pour guérir. La consistance de la poitrine peut sembler plus dure au toucher au début et subir des modifications de forme dues à la contraction des muscles.
Positionnement post-opératoire
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L’endroit où la prothèse est placée :devant le muscle pectoral et derrière la glande mammaire.
- Pour ceux qui sont indiqués cette position : pour ceux qui ont une bonne épaisseur de tissu mammaire.
- Quels sont les avantages : c’est une technique qui permet une exécution plus facile de l’opération. L’évolution postopératoire est assez rapide et la consistance du sein est très naturelle.
- en partie derrière le grand muscle pectoral et en partie en position sous-navulaire. Avec cette technique, les autres muscles de la paroi thoracique ne sont pas touchés. La partie inférieure de la prothèse reste libre dans une position de clouage arrière.
- considérée comme l’évolution de la technique rétromusculaire, elle est extrêmement avancée et présente un grand nombre d’avantages. Principalement : les bords de la prothèse ne sont pas perceptibles et la forme résultant de l’opération de mastoplastie additive est extrêmement naturelle.
- Les examens diagnostiques, tels que la mammographie, ne poseront pas de problème après l’insertion de la prothèse. Dans ce cas, contrairement à la technique rétromusculaire, vous obtiendrez une poitrine très douce au toucher, dont la forme ne varie pas en fonction de la contraction du muscle pectoral. Comme pour la technique rétrograde, ici aussi le cours post-opératoire est assez rapide.
Il existe trois voies principales d’accès chirurgical pour l’insertion de la prothèse dans les opérations de mastoplastie additive :
Depuis le sillon sous-mammaire – permet d’accéder au plan de dissection de la poche prothétique depuis le dessous de la glande mammaire sans avoir à interrompre sa continuité ; c’est l’une des voies d’accès par excellence, car elle est rapide, sûre et respectueuse de l’anatomie normale.
L’opération comment elle se passe ?
Le cours post-opératoire prévoit un sein douloureux, pendant quelques jours, causé par l’étirement des tissus. Cette douleur est absolument contrôlable avec des médicaments anti-inflammatoires et des analgésiques.
Un grand nombre de femmes subissent chaque année une opération d’augmentation mammaire ; ce choix doit être fait de manière consciente, en tenant compte des risques qui peuvent être encourus, qui sont alors les risques liés à tout type d’opération.
L’examen chirurgical et anesthésiologique, ainsi que les tests hématochimiques et l’électrocardiogramme permettent de vérifier la présence de tout facteur de risque associé et de minimiser la possibilité de complications.
Il existe des programmes spéciaux qui vous permettent de voir le résultat que vous obtiendrez en termes de volume final en fonction des paramètres étudiés lors de l’examen médical. Le programme prévoit que le patient porte un corsage spécial qui permet l’insertion d’une prothèse d’essai afin que vous puissiez évaluer exactement le volume après l’intervention.
Non, les prothèses sont normalement intégrées dans le corps, c’est pourquoi celui-ci aura la même température que le corps de l’hôte. En ce qui concerne la gomme, la prothèse a une consistance absolument molle, typique du sein jeune et, en cas de complications, la palpabilité est absolument normale.
Oui, les implants n’ont aucune influence sur l’allaitement. La possibilité d’allaiter dépend exclusivement de la prédisposition de la patiente et ne sera en aucun cas remise en cause par une opération d’augmentation mammaire.
Les prothèses ont fait l’objet de dizaines de milliers d’études scientifiques approfondies, en raison de l’importance du type d’intervention et en vue de prévenir la pathologie du cancer du sein. Toutes les relations entre les prothèses et les tumeurs ont été exclues, de sorte qu’elles doivent être considérées comme totalement sûres.
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