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Augmentation mammaire Lyon – Questions et réponses

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L’augmentation mammaire est l’une des interventions chirurgicales les plus désirées par les femmes, et ce n’est pas un hasard, car elle assure les performances esthétiques les plus satisfaisantes, en mettant en valeur la féminité de chacune. Il s’agit d’une opération de longue durée ; les prothèses sont garanties à vie même si, dans certains cas, elles doivent être remplacées au fil des ans. Conçue à l’origine uniquement pour augmenter la poitrine, cette chirurgie est devenue la réponse également pour celles qui veulent corriger les défauts de forme, améliorer les proportions et la symétrie des seins en choisissant, parmi les différentes prothèses, celle qui est la plus appropriée, en obtenant un résultat harmonieux et naturel. Selon les statistiques les plus récentes, les personnes qui s’adressent au chirurgien plastique pour ce type d’opération ont entre 19 et 35 ans.

Celles qui aspirent à une poitrine plus féminine, plus sensuelle ou plus abondante, le font également en fonction des motivations les plus diverses qui ont pu conduire à un changement naturel de leur apparence : une perte de poids soudaine, le passage des années, une grossesse.
Se sentir bien passe nécessairement par sa propre image corporelle, c’est pourquoi plus le résultat est naturel et proportionné à la structure physique de chacun, plus le gain sera mesuré en termes d’estime de soi et de bien-être.

Voyons en détail ce que cela signifie d’avoir un nouveau sein, cette partie que chaque femme considère peut-être comme la plus importante d’elle-même.

Quel est le traitement, la première visite à Paris

Prenons un peu de recul pour expliquer, étape par étape, ce que signifie se faire refaire les seins.

La première consultation avec le chirurgien esthétique est une visite d’évaluation, qui est également indiquée pour dissiper tout doute sur l’opération. Lors de cette première rencontre, le chirurgien vous aidera à comprendre les différentes options et possibilités offertes par la chirurgie esthétique d’aujourd’hui.
Normalement, au cours de cet entretien, le médecin recueille quelques données sur les antécédents médicaux du patient et prescrit ensuite une série d’examens nécessaires pour tester l’état de santé du patient et la possibilité consécutive de subir l’opération. La possibilité technique d’effectuer l’opération est évaluée ici, en tenant compte principalement des caractéristiques anatomiques du sein, donc du type de peau et de tissu adipeux et de la conformation de la glande mammaire.
Le budget qui est proposé rend compte de tout ce qui concerne l’opération, tant dans la phase chirurgicale que postopératoire (prothèse, personnel, pansements et tous les contrôles périodiques qui suivent l’opération).
Le choix des implants mammaires

Avoir un nouveau sein, c’est consacrer une grande attention à la phase d’analyse et d’étude du type de sein à opérer et, bien sûr, du nouveau sein à obtenir. L’une des principales inconnues concerne le choix du type de prothèse à insérer, compte tenu du fait que les modèles de dernière génération, disponibles dans une infinité de formes et de tailles, sont pour la plupart en gel cohésif avec une surface texturée et permettent l’adhésion complète de la prothèse aux tissus, obtenant un effet totalement naturel ; il existe également des prothèses en gel de silicone recouvertes de polyuréthane, une substance totalement résorbable qui réduit le risque de contracture capsulaire.

Zones d’insertion de prothèses mammaires ?

Parmi les différentes alternatives à examiner avec l’expertise du médecin figure le choix de la zone d’insertion de la prothèse.
Ce choix doit être fait en tenant compte de la taille du tissu mammaire, c’est-à-dire de la graisse et de la glande.

Fondamentalement, une opération de mastoplastie additive implique, selon les différents cas, trois techniques d’insertion : Positionnement rétromusculaire

  • L’endroit où la prothèse est placée :
    derrière le grand muscle pectoral et – parfois – derrière une partie du muscle denté.
  • Quels sont les avantages :les bords de la prothèse ont une visibilité réduite, surtout par rapport à d’autres techniques, ce qui donne un sein d’apparence très naturelle. La réalisation de ce type d’insertion facilite la réalisation d’examens de contrôle tels que la mammographie et réduit également le risque de contracture capsulaire.
  • Quels sont les inconvénients ? le cours post-opératoire peut nécessiter plus de temps pour guérir. La consistance de la poitrine peut sembler plus dure au toucher au début et subir des modifications de forme dues à la contraction des muscles.

Positionnement post-opératoire

  • L’endroit où la prothèse est placée :
    devant le muscle pectoral et derrière la glande mammaire.
  • Pour ceux qui sont indiqués cette position : pour ceux qui ont une bonne épaisseur de tissu mammaire.
  • Quels sont les avantages : c’est une technique qui permet une exécution plus facile de l’opération. L’évolution postopératoire est assez rapide et la consistance du sein est très naturelle.
Quels sont les inconvénients ?
Il est possible que le bord de la prothèse soit plus visible, surtout si les patients ayant peu de tissus ont besoin de prothèses de plus grande taille. Augmentation possible de l’incidence de la contracture capsulaire. Les mammographies peuvent être plus difficiles à réaliser.
La technique du double plan
L’endroit où la prothèse est placée :
  • en partie derrière le grand muscle pectoral et en partie en position sous-navulaire. Avec cette technique, les autres muscles de la paroi thoracique ne sont pas touchés. La partie inférieure de la prothèse reste libre dans une position de clouage arrière.
Si cette position est indiquée :
dans certains cas, la forme du sein assure un résultat naturel tant pour celles qui choisissent des prothèses anatomiques en forme de goutte d’eau que pour les prothèses rondes.
Quels sont les avantages :
  1. considérée comme l’évolution de la technique rétromusculaire, elle est extrêmement avancée et présente un grand nombre d’avantages. Principalement : les bords de la prothèse ne sont pas perceptibles et la forme résultant de l’opération de mastoplastie additive est extrêmement naturelle.
  2. Les examens diagnostiques, tels que la mammographie, ne poseront pas de problème après l’insertion de la prothèse. Dans ce cas, contrairement à la technique rétromusculaire, vous obtiendrez une poitrine très douce au toucher, dont la forme ne varie pas en fonction de la contraction du muscle pectoral. Comme pour la technique rétrograde, ici aussi le cours post-opératoire est assez rapide.
Quels sont les inconvénients : c’est une technique qui surmonte tous les inconvénients de la technique rétromusculaire et rétroghiandulaire.
Zones d’insertion de la prothèse mammaire :
Quelles sont les voies d’accès chirurgicales

Il existe trois voies principales d’accès chirurgical pour l’insertion de la prothèse dans les opérations de mastoplastie additive :

A partir de l’aréole mammaire – l’incision est généralement faite dans la moitié inférieure de l’aréole et permet d’atteindre le plan de positionnement passant par la glande.
Cette voie d’accès est souvent utilisée car, en raison de la nature anatomique irrégulière de l’aréole mammaire, elle permet de cacher la cicatrice de l’opération.
Limites possibles : notamment la taille de l’implant mammaire à insérer, qui ne peut être trop grande.

Depuis le sillon sous-mammaire – permet d’accéder au plan de dissection de la poche prothétique depuis le dessous de la glande mammaire sans avoir à interrompre sa continuité ; c’est l’une des voies d’accès par excellence, car elle est rapide, sûre et respectueuse de l’anatomie normale.

Ascellaire – l’insertion de la prothèse à partir de cette zone permet d’utiliser le pilier antérieur de l’aisselle comme guide pour atteindre le plan de dissection de la poche chirurgicale, à la fois rétrogulaire et rétromusculaire. Il est le moins utilisé. Ses avantages résident dans le fait de pouvoir mieux cacher les signes de l’opération. Il s’agit d’une voie limitée au cas où des prothèses de grande taille doivent être mises en place.
L’opération comment elle se passe ?
Le jour de l’opération, le patient doit se présenter à la clinique à l’heure prévue, vêtu de vêtements confortables, sans maquillage ni vernis à ongles. Une personne de contact doit être présente avec elle pour assurer un soutien et une présence pendant la première nuit suivant l’opération. L’intervention de mastoplastie additive nécessite tout d’abord la présence constante d’un anesthésiste. Ce type précis d’opération implique soit une anesthésie locale avec sédation, soit, plus souvent, une anesthésie générale.
En règle générale, l’anesthésique local contient un médicament vasoconstricteur dans sa formule, afin de réduire les saignements et de faciliter la guérison postopératoire.
Après avoir pratiqué l’incision convenue, le chirurgien crée la poche qui accueillera l’implant, au-dessus ou en dessous du muscle pectoral. Après avoir vérifié l’absence de saignement, on vérifie la poche, puis on introduit la prothèse.
La phase chirurgicale se termine lorsque le bandage est appliqué sur les pansements et n’est pas considérée comme un moment sans importance au cours d’une opération.
Des drains sont souvent placés avant l’introduction de la prothèse et servent à empêcher le prélèvement de sang dans les premières heures suivant l’opération.
La patiente est ensuite obligée de porter un soutien-gorge élastique, qui doit être porté jour et nuit pendant au moins trois semaines à un mois.
Le premier pansement est généralement fait après 3 ou 4 jours.
Il s’agit d’un traitement douloureux ou dangereux

Le cours post-opératoire prévoit un sein douloureux, pendant quelques jours, causé par l’étirement des tissus. Cette douleur est absolument contrôlable avec des médicaments anti-inflammatoires et des analgésiques.

Un grand nombre de femmes subissent chaque année une opération d’augmentation mammaire ; ce choix doit être fait de manière consciente, en tenant compte des risques qui peuvent être encourus, qui sont alors les risques liés à tout type d’opération.

L’examen chirurgical et anesthésiologique, ainsi que les tests hématochimiques et l’électrocardiogramme permettent de vérifier la présence de tout facteur de risque associé et de minimiser la possibilité de complications.

En ce qui concerne les éventuelles complications liées aux implants mammaires, le principal risque est représenté par la contracture capsulaire, liée au corps étranger classique de l’organisme, qui peut être plus ou moins agressive. Dans les cas les plus graves, la réaction conduit le sein à se durcir excessivement et à prendre des formes non naturelles.
Questions fréquemment posées sur les additifs pour mastoplastie
Est-il possible de voir le résultat que j’obtiendrai avec l’opération ?

Il existe des programmes spéciaux qui vous permettent de voir le résultat que vous obtiendrez en termes de volume final en fonction des paramètres étudiés lors de l’examen médical. Le programme prévoit que le patient porte un corsage spécial qui permet l’insertion d’une prothèse d’essai afin que vous puissiez évaluer exactement le volume après l’intervention.

On entend souvent dire qu’un sein opéré reste froid et caoutchouteux au toucher, est-ce vrai ?

Non, les prothèses sont normalement intégrées dans le corps, c’est pourquoi celui-ci aura la même température que le corps de l’hôte. En ce qui concerne la gomme, la prothèse a une consistance absolument molle, typique du sein jeune et, en cas de complications, la palpabilité est absolument normale.

Une femme portant des prothèses peut-elle allaiter ?

Oui, les implants n’ont aucune influence sur l’allaitement. La possibilité d’allaiter dépend exclusivement de la prédisposition de la patiente et ne sera en aucun cas remise en cause par une opération d’augmentation mammaire.

Augmentation mammaire et tumeurs, y a-t-il un lien ?

Les prothèses ont fait l’objet de dizaines de milliers d’études scientifiques approfondies, en raison de l’importance du type d’intervention et en vue de prévenir la pathologie du cancer du sein. Toutes les relations entre les prothèses et les tumeurs ont été exclues, de sorte qu’elles doivent être considérées comme totalement sûres.

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